Le
lendemain matin. Deux heures à cheval à travers les cailloux et les
laves. Puis ascension à pied du glacier. Il y a quatre heures de montée.
Je
me suis arrêté au bout de deux heures et quart (Altitude sup à
5 000 m). Le paysage n’a plus rien de tropical.
Jean Tommy-Martin, le troisième en partant de la droite.